Programme de rétablissement de la population boréale du caribou des bois au Canada [proposition] - 2011 : Annexe F-1
- Désignation de l'habitat essentiel : Territoires du Nord-Ouest - Nord (Territoires du Nord-Ouest)
- Désignation de l'habitat essentiel : Suggi-Amisk-Kississing (Saskatchewan)
- Désignation de l'habitat essentiel : Reed (Manitoba)
- Désignation de l'habitat essentiel : Wabowden (Manitoba)
- Désignation de l'habitat essentiel : Wapisu (Manitoba)
- Désignation de l'habitat essentiel : Manitoba (Manitoba)
- Désignation de l'habitat essentiel : Atikaki-Berens (Manitoba)
- Désignation de l'habitat essentiel : Churchill (Ontario)
- Désignation de l'habitat essentiel : Lake Nipigon (Ontario)
- Désignation de l'habitat essentiel : Coastal (Ontario)
- Désignation de l'habitat essentiel : Pagwachuan (Ontario)
- Désignation de l'habitat essentiel : Far North (Ontario)
- Désignation de l'habitat essentiel : Manicouagan (Québec)
- Désignation de l'habitat essentiel : Québec (Québec)
- Désignation de l'habitat essentiel : Lac Joseph (Labrador)
- Désignation de l'habitat essentiel : Mealy Mountain (Labrador)
- Désignation de l'habitat essentiel : Labrador (Labrador)
La désignation de l'habitat essentiel du caribou boréal repose sur trois facteurs pour chaque population locale : i) l'emplacement de l'habitat; ii) la superficie de l'habitat; iii) le type d'habitat.
A) Emplacement : Zone où se situe l'habitat essential.
Figure 1 - Carte de données géoréférencées de l'emplacement général de la population locale (en rouge).
Figure 2 - Frontière géographique à l’intérieur de laquelle est situé l'habitat essentiel (en gris).
B) Superficie : Quantité d'habitat essentiel.
Caractéristiques des aires de répartition |
Superficie de l’aire de répartition |
19 154 033 ha |
---|---|---|
Taille de la population |
Inconnue |
|
Tendances de la population |
Inconnues |
|
Perturbations totales de l’habitat |
4 213 887 ha |
|
Évaluation des aires |
Évaluation de la probabilité selon laquelle l’aire de répartition actuelle soutiendrait une population locale autosuffisante |
Autosuffisante |
Détermination de la superficie d’habitat |
A) Superficie de l’aire de répartition |
19 154 033 ha (100%) |
B) Perturbations totales de l’habitat1 |
4 213 887 ha (22%) |
|
C) Habitat essentiel2 |
12 450 121 ha (65%) |
1 Les perturbations totales de l'habitat reflètent la perte d'habitat fonctionnel. Elles seront supérieures à l'empreinte des perturbations associée (p. ex. une empreinte de 100 ha pourrait conduire à une perte d'habitat fonctionnel de 400 ha).
2 L'habitat non perturbé disponible représente plus de 65 % de l'aire de répartition.
C) Type : Caractéristiquesbiophysiques.
Type de sélection | Description |
---|---|
Grande échelle |
Forêts matures (pin gris, épinette, mélèze laricin) de plus de 100 ans et habitat coniférien ouvert. Vastes superficies de tourbières à épinette et de fondrières de mousse avec préférence pour les bogs plutôt que les fens, et forêts d’épinettes noires en milieu sec et dans les basses terres avec une abondance de lichens et la présence de mousse et de cypéracées. |
Mise bas |
Forêts de conifères ouvertes, toundra parsemée de mottes de gazon, petits arbustes, habitat riverain, brûlis récents, versants sud et ouest, collines et zones en altitude. |
Élevage |
Fondrières de mousse ou zones avec accès à des fondrières de mousse, prés ouverts en altitude situés à proximité des plans d’eau (lacs et cours d’eau) et des zones de buissons mixtes.Forêts ouvertes de conifères comportant une abondance de lichens, petits arbustes, habitat riverain, toundra parsemée de mottes de gazon, habitat à la végétation clairsemée, brûlis récents et versant ouest. |
Saison du rut |
Forêts ouvertes de conifères et forêts mixtes, petits arbustes, habitat riverain, toundra parsemée de mottes de gazon, brûlis récents et versant ouest. Utilise encore des fondrières de mousse avec lichens terrestres et cypéracées, des zones de buissons mixtes et des zones en altitude. |
Hiver |
Forêts ouvertes de conifères (épinette noire et pin) qui offrent une couverture adéquate avec une abondance de lichens, de zones riveraines. Des caribous sont observés dans les fondrières de mousse au début de l’hiver. |
Déplacements |
Les femelles se montrent très fidèles aux sites de mise bas d’une année sur l’autre (c.-à-d. dans un rayon de 14,5 km). |
Évitement |
Évite l’habitat de lisière. |
Une faible portion de l’habitat du caribou boréal dans son aire de répartition nordique des Territoires du Nord-Ouest se situe dans l’écozone du Bas-Arctique et dans celle de la Taïga de la Cordillère. Actuellement, il n’existe aucune information sur l’utilisation de l’habitat par le caribou boréal dans ces deux écozones ou sur les caractéristiques biophysiques de ces écozones. Les caractéristiques biophysiques de l’écozone de la Taïga des plaines serviront à décrire le type d’habitat requis pour déterminer l’habitat essentiel du caribou boréal dans les écozones du Bas-Arctique et de la Taïga de la Cordillère.
D) Information supplémentaire :
Couverture terrestre de 2005 telle que mesurée par le spectroradiomètre imageur à résolution moyenne (MODIS) (250 m pixels)
Générée par le Centre canadien de télédétection BNDT 1/250 000: Basée sur la couche hydrologique
Type de perturbation et superficie :
Zones brûlées = 18%
Perturbation anthropique tamponnée3 (aucun réservoir) = 5%
Perturbations totales de l'habitat = 22%4
3 « Tamponnée » signifie qu’une zone tampon de 500 m a été appliquée aux perturbations linéaires et polygonales.
4 Les perturbations totales de l’habitat comprennent les perturbations anthropiques et les zones brûlées dues à l’activité humaine qui ne sont pas comptabilisées deux fois dans le total.
La désignation de l'habitat essentiel du caribou boréal repose sur trois facteurs pour chaque population locale : i) l'emplacement de l'habitat; ii) la superficie de l'habitat; iii) le type d'habitat.
A) Emplacement : Zone où se situe l'habitat essential.
Figure 1 - Carte de données géoréférencées de l'emplacement général de la population locale (en rouge).
Figure 2 - Frontière géographique à l’intérieur de laquelle est situé l'habitat essentiel (en gris).
B) Superficie : Quantité d'habitat essentiel.
Caractéristiques des aires de répartition |
Superficie de l’aire de répartition |
2 487 894 ha |
---|---|---|
Taille de la population |
430 |
|
Tendances de la population |
Inconnues |
|
Perturbations totales de l’habitat |
621 974 ha |
|
Évaluation des aires |
Évaluation de la probabilité selon laquelle l’aire de répartition actuelle soutiendrait une population locale autosuffisante |
Non autosuffisante |
Détermination de la superficie d’habitat |
A) Superficie de l’aire de répartition |
2 487 894 ha (100%) |
B) Perturbations totales de l’habitat1 |
621 974 ha (25%) |
|
C) Habitat essentiel2 |
1 617 131 ha (65%) |
1 Les perturbations totales de l'habitat reflètent la perte d'habitat fonctionnel. Elles seront supérieures à l'empreinte des perturbations associée (p. ex. une empreinte de 100 ha pourrait conduire à une perte d'habitat fonctionnel de 400 ha).
2 L'habitat non perturbé disponible représente plus de 65 % de l'aire de répartition.
C) Type : Caractéristiquesbiophysiques.
Type de sélection | Description |
---|---|
Grande échelle |
Complexes de tourbières, fondrières de mousse ou bogs à dominance de conifères ou de mélèze laricin. Utilisation d’îles sèches au milieu des fondrières de mousse et de forêts matures de conifères (pin gris, épinette noire, mélèze laricin) de densité moyenne à élevée en milieu sec comportant une abondance de lichens. |
Mise bas |
Les tourbières, les peuplements dominés par l’épinette noire, les peuplements forestiers matures et les fondrières de mousse arborées sont tous utilisés pour la mise bas. |
Élevage |
Les rivages boisés, les îles, les rochers faiblement arborés, les milieux secs de conifères et d’épinettes et les fondrières de mousse arborées sont utilisés en été. |
Saison du rut |
Forêts de conifères et forêts mixtes denses et clairsemées. |
Hiver |
Peuplements matures d’épinettes en milieu sec, peuplements de pins et fondrières de mousse arborées. |
Déplacements |
Certains mâles se déplacent sur une distance de plus de 100 km au cours de la saison du rut. |
Évitement |
Évite les habitats au fort couvert arbustif et les peuplements à dominance de feuillus. |
Type de sélection | Description |
---|---|
Grande échelle |
Forêts de conifères (pin gris, épinette noire, mélèze laricin) au dernier stade de succession (plus de 50 ans), tourbières arborées, fondrières de mousse ou bogs, utilisation d’îles sèches dans les fondrières de mousse avec abondance de lichens. Terrains montagneux ou zones en altitude, petits lacs. |
Mise bas |
Bogs et forêts matures, ainsi qu’îles et petits lacs choisis pour la mise bas. |
Élevage |
Peuplements forestiers de plus de 50 ans. |
Saison du rut |
Forêts matures. |
Hiver | Tourbières, bogs et fens arborés et complexes de fens ouverts avec plus de 50 % de couverture de tourbière comportant une abondance de lichens. |
Évitement |
Évite les habitats secs et les fens, les peuplements dominés par le peuplier faux-tremble, les peuplements non matures et les grands cours d’eau pendant toute l’année. |
D) Information supplémentaire :
Couverture terrestre de 2005 telle que mesurée par le spectroradiomètre imageur à résolution moyenne (MODIS) (250 m pixels)
Générée par le Centre canadien de télédétection BNDT 1/250 000: Basée sur la couche hydrologique
Type de perturbation et superficie :
Zones brûlées = 18%
Perturbation anthropique tamponnée3 (aucun réservoir) = 8%
Perturbations totales dans l'habitat = 25%4
3 « Tamponnée » signifie qu’une zone tampon de 500 m a été appliquée aux perturbations linéaires et polygonales.
4 Les perturbations totales de l’habitat comprennent les perturbations anthropiques et les zones brûlées dues à l’activité humaine qui ne sont pas comptabilisées deux fois dans le total.
La désignation de l'habitat essentiel du caribou boréal repose sur trois facteurs pour chaque population locale : i) l'emplacement de l'habitat; ii) la superficie de l'habitat; iii) le type d'habitat.
A) Emplacement : Zone où se situe l'habitat essential.
Figure 1 - Carte de données géoréférencées de l'emplacement général de la population locale (en rouge).
Figure 2 - Frontière géographique à l’intérieur de laquelle est situé l'habitat essentiel (en gris).
B) Superficie : Quantité d'habitat essentiel.
Caractéristiques des aires de répartition |
Superficie de l’aire de répartition |
357 425 ha |
---|---|---|
Taille de la population |
100-150 |
|
Tendances de la population |
Population stable |
|
Perturbations totales de l’habitat |
92 931 ha |
|
Évaluation des aires |
Évaluation de la probabilité selon laquelle l’aire de répartition actuelle soutiendrait une population locale autosuffisante |
Autosuffisante |
Détermination de la superficie d’habitat |
|
357 425 ha (100%) |
|
92 931 ha (26%) |
|
|
232 326 ha (65%) |
1 Les perturbations totales de l'habitat reflètent la perte d'habitat fonctionnel. Elles seront supérieures à l'empreinte des perturbations associée (p. ex. une empreinte de 100 ha pourrait conduire à une perte d'habitat fonctionnel de 400 ha).
2 L'habitat non perturbé disponible représente plus de 65 % de l'aire de répartition.
C) Type : Caractéristiquesbiophysiques.
Type de sélection | Description |
---|---|
Grande échelle |
Complexes de tourbières, fondrières de mousse ou bogs à dominance de conifères ou de mélèze laricin. Utilisation d’îles sèches au milieu des fondrières de mousse et de forêts matures de conifères (pin gris, épinette noire, mélèze laricin) de densité moyenne à élevée en milieu sec comportant une abondance de lichens. |
Mise bas |
Les tourbières, les peuplements dominés par l’épinette noire, les peuplements forestiers matures et les fondrières de mousse arborées sont tous utilisés pour la mise bas. |
Élevage |
Les rivages boisés, les îles, les rochers faiblement arborés, les milieux secs de conifères et d’épinettes et les fondrières de mousse arborées sont utilisés en été. |
Saison du rut |
Forêts de conifères et forêts mixtes denses et clairsemées. |
Hiver |
Peuplements matures d’épinettes en milieu sec, peuplements de pins et fondrières de mousse arborées. |
Déplacements |
Certains mâles se déplacent sur une distance de plus de 100 km au cours de la saison du rut. |
Évitement |
Évite les habitats au fort couvert arbustif et les peuplements à dominance de feuillus. |
Type de sélection | Description |
---|---|
Grande échelle |
Forêts de conifères (pin gris, épinette noire, mélèze laricin) au dernier stade de succession (plus de 50 ans), tourbières arborées, fondrières de mousse ou bogs, utilisation d’îles sèches dans les fondrières de mousse avec abondance de lichens. Terrains montagneux ou zones en altitude, petits lacs. |
Mise bas |
Bogs et forêts matures, ainsi qu’îles et petits lacs choisis pour la mise bas. |
Élevage |
Peuplements forestiers de plus de 50 ans. |
Saison du rut |
Forêts matures. |
Hiver | Tourbières, bogs et fens arborés et complexes de fens ouverts avec plus de 50 % de couverture de tourbière comportant une abondance de lichens. |
Évitement |
Évite les habitats secs et les fens, les peuplements dominés par le peuplier faux-tremble, les peuplements non matures et les grands cours d’eau pendant toute l’année. |
D) Information supplémentaire :
Couverture terrestre de 2005 telle que mesurée par le spectroradiomètre imageur à résolution moyenne (MODIS) (250 m pixels)
Générée par le Centre canadien de télédétection BNDT 1/250 000: Basée sur la couche hydrologique
Type de perturbation et superficie :
Zones brûlées = 7%
Perturbation anthropique tamponnée3 (aucun réservoir) = 20%
Perturbations totales de l'habitat = 26%4
3 « Tamponnée » signifie qu’une zone tampon de 500 m a été appliquée aux perturbations linéaires et polygonales.
4 Les perturbations totales de l’habitat comprennent les perturbations anthropiques et les zones brûlées dues à l’activité humaine qui ne sont pas comptabilisées deux fois dans le total
La désignation de l'habitat essentiel du caribou boréal repose sur trois facteurs pour chaque population locale : i) l'emplacement de l'habitat; ii) la superficie de l'habitat; iii) le type d'habitat.
A) Emplacement : Zone où se situe l'habitat essential.
Figure 1 - Carte de données géoréférencées de l'emplacement général de la population locale (en rouge).
Figure 2 - Frontière géographique à l’intérieur de laquelle est situé l'habitat essentiel (en gris).
B) Superficie : Quantité d'habitat essentiel.
Caractéristiques des aires de répartition |
Superficie de l’aire de répartition |
628 938 ha |
---|---|---|
Taille de la population |
200-225 |
|
Tendances de la population |
Population stable |
|
Perturbations totales de l’habitat |
176 103 ha |
|
Évaluation des aires |
Évaluation de la probabilité selon laquelle l’aire de répartition actuelle soutiendrait une population locale autosuffisante |
Autosuffisante |
Détermination de la superficie d’habitat |
|
628 938 ha (100%) |
|
176 103 ha (28%) |
|
|
408 810 ha (65%) |
1 Les perturbations totales de l'habitat reflètent la perte d'habitat fonctionnel. Elles seront supérieures à l'empreinte des perturbations associée (p. ex. une empreinte de 100 ha pourrait conduire à une perte d'habitat fonctionnel de 400 ha).
2 L'habitat non perturbé disponible représente plus de 65 % de l'aire de répartition.
C) Type: Caractéristiquesbiophysiques.
Type de sélection | Description |
---|---|
Grande échelle |
Forêts de conifères (pin gris, épinette noire, mélèze laricin) au dernier stade de succession (plus de 50 ans), tourbières arborées, fondrières de mousse ou bogs, utilisation d’îles sèches dans les fondrières de mousse avec abondance de lichens. Terrains montagneux ou zones en altitude, petits lacs. |
Mise bas |
Bogs et forêts matures, ainsi qu’îles et petits lacs choisis pour la mise bas. |
Élevage |
Peuplements forestiers de plus de 50 ans. |
Saison du rut |
Forêts matures. |
Hiver |
Tourbières, bogs et fens arborés et complexes de fens ouverts avec plus de 50 % de couverture de tourbière comportant une abondance de lichens. |
Évitement |
Évite les habitats secs et les fens, les peuplements dominés par le peuplier faux-tremble, les peuplements non matures et les grands cours d’eau pendant toute l’année. |
D) Information supplémentaire :
Couverture terrestre de 2005 telle que mesurée par le spectroradiomètre imageur à résolution moyenne (MODIS) (250 m pixels)
Générée par le Centre canadien de télédétection BNDT 1/250 000: Basée sur la couche hydrologique
Type de perturbation et superficie :
Zones brûlées = 10%
Perturbation anthropique tamponnée3 (aucun réservoir) = 19%
Perturbations totales de l'habitat = 28%4
3 « Tamponnée » signifie qu’une zone tampon de 500 m a été appliquée aux perturbations linéaires et polygonales.
4 Les perturbations totales de l’habitat comprennent les perturbations anthropiques et les zones brûlées dues à l’activité humaine qui ne sont pas comptabilisées deux fois dans le total.
La désignation de l'habitat essentiel du caribou boréal repose sur trois facteurs pour chaque population locale : i) l'emplacement de l'habitat; ii) la superficie de l'habitat; iii) le type d'habitat.
A) Emplacement : Zone où se situe l'habitat essential.
Figure 1 - Carte de données géoréférencées de l'emplacement général de la population locale (en rouge).
Figure 2 - Frontière géographique à l’intérieur de laquelle est situé l'habitat essentiel (en gris).
B) Superficie : Quantité d'habitat essentiel.
Caractéristiques des aires de répartition |
Superficie de l’aire de répartition |
565 044 ha |
---|---|---|
Taille de la population |
100-125 |
|
Tendances de la population |
Population stable |
|
Perturbations totales de l’habitat |
135 611 ha |
|
Évaluation des aires |
Évaluation de la probabilité selon laquelle l’aire de répartition actuelle soutiendrait une population locale autosuffisante |
Autosuffisante |
Détermination de la superficie d’habitat |
|
565 044 ha (100%) |
|
135 611 ha (24%) |
|
|
367 297 ha (65%) |
1 Les perturbations totales de l'habitat reflètent la perte d'habitat fonctionnel. Elles seront supérieures à l'empreinte des perturbations associée (p. ex. une empreinte de 100 ha pourrait conduire à une perte d'habitat fonctionnel de 400 ha).
2 L'habitat non perturbé disponible représente plus de 65 % de l'aire de répartition.
C) Type: Caractéristiquesbiophysiques.
Type de sélection | Description |
---|---|
Grande échelle |
Complexes de tourbières, fondrières de mousse ou bogs à dominance de conifères ou de mélèze laricin. Utilisation d’îles sèches au milieu des fondrières de mousse et de forêts matures de conifères (pin gris, épinette noire, mélèze laricin) de densité moyenne à élevée en milieu sec comportant une abondance de lichens. |
Mise bas |
Les tourbières, les peuplements dominés par l’épinette noire, les peuplements forestiers matures et les fondrières de mousse arborées sont tous utilisés pour la mise bas. |
Élevage |
Les rivages boisés, les îles, les rochers faiblement arborés, les milieux secs de conifères et d’épinettes et les fondrières de mousse arborées sont utilisés en été. |
Saison du rut |
Forêts de conifères et forêts mixtes denses et clairsemées. |
Hiver |
Peuplements matures d’épinettes en milieu sec, peuplements de pins et fondrières de mousse arborées. |
Déplacements |
Certains mâles se déplacent sur une distance de plus de 100 km au cours de la saison du rut. |
Évitement |
Évite les habitats au fort couvert arbustif et les peuplements à dominance de feuillus. |
D) Information supplémentaire :
Couverture terrestre de 2005 telle que mesurée par le spectroradiomètre imageur à résolution moyenne (MODIS) (250 m pixels)
Générée par le Centre canadien de télédétection BNDT 1/250 000: Basée sur la couche hydrologique
Type de perturbation et superficie :
Zones brûlées = 10%
Perturbation anthropique tamponnée3 (aucun réservoir) = 14%
Perturbations totales de l'habitat = 24%4
3 « Tamponnée » signifie qu’une zone tampon de 500 m a été appliquée aux perturbations linéaires et polygonales.
4 Les perturbations totales de l’habitat comprennent les perturbations anthropiques et les zones brûlées dues à l’activité humaine qui ne sont pas comptabilisées deux fois dans le total
La désignation de l'habitat essentiel du caribou boréal repose sur trois facteurs pour chaque population locale : i) l'emplacement de l'habitat; ii) la superficie de l'habitat; iii) le type d'habitat.
A) Emplacement : Zone où se situe l'habitat essential.
Figure 1 - Carte de données géoréférencées de l'emplacement général de la population locale (en rouge).
Figure 2 - Frontière géographique à l’intérieur de laquelle est situé l'habitat essentiel (en gris).
B) Superficie : Quantité d'habitat essentiel.
Caractéristiques des aires de répartition |
Superficie de l’aire de répartition |
14 958 322 ha |
---|---|---|
Taille de la population |
775-1585 |
|
Tendances de la population |
Population stable |
|
Perturbations totales de l’habitat |
4 188 330 ha |
|
Évaluation des aires |
Évaluation de la probabilité selon laquelle l’aire de répartition actuelle soutiendrait une population locale autosuffisante |
Autosuffisante |
Détermination de la superficie d’habitat |
A) Superficie de l’aire de répartition |
14 958 322 ha (100%) |
B) Perturbations totales de l’habitat1 |
4 188 330 ha (28%) |
|
C) Habitat essentiel2 |
9 722 909 ha (65%) |
1 Les perturbations totales de l'habitat reflètent la perte d'habitat fonctionnel. Elles seront supérieures à l'empreinte des perturbations associée (p. ex. une empreinte de 100 ha pourrait conduire à une perte d'habitat fonctionnel de 400 ha).
2 L'habitat non perturbé disponible représente plus de 65 % de l'aire de répartition.
C) Type: Caractéristiquesbiophysiques.
Type de sélection | Description |
---|---|
Grande échelle |
Complexes de tourbières, fondrières de mousse ou bogs à dominance de conifères ou de mélèze laricin. Utilisation d’îles sèches au milieu des fondrières de mousse et de forêts matures de conifères (pin gris, épinette noire, mélèze laricin) de densité moyenne à élevée en milieu sec comportant une abondance de lichens. |
Mise bas |
Les tourbières, les peuplements dominés par l’épinette noire, les peuplements forestiers matures et les fondrières de mousse arborées sont tous utilisés pour la mise bas. |
Élevage |
Les rivages boisés, les îles, les rochers faiblement arborés, les milieux secs de conifères et d’épinettes et les fondrières de mousse arborées sont utilisés en été. |
Saison du rut |
Forêts de conifères et forêts mixtes denses et clairsemées. |
Hiver |
Peuplements matures d’épinettes en milieu sec, peuplements de pins et fondrières de mousse arborées. |
Déplacements |
Certains mâles se déplacent sur une distance de plus de 100 km au cours de la saison du rut. |
Évitement |
Évite les habitats au fort couvert arbustif et les peuplements à dominance de feuillus. |
Type de sélection | Description |
---|---|
Grande échelle |
Milieux secs de conifères matures et basses terres dominées par les conifères ou le mélèze laricin. |
Mise bas |
Milieux humides boisés ou bogs arborés, anciens brûlis, conifères clairsemés et épinettes denses. Présence nécessaire de lichens. |
Élevage |
Tourbières avec îles boisées, îles et rivages sélectionnés pendant l’été. |
Saison du rut |
Bogs semi-ouverts et ouverts et milieux secs de conifères matures sélectionnés pendant la saison du rut. Les lichens terrestres et arboricoles, les cypéracées et les arbustes éricoïdes de bogs (Andromeda glaucophylla, Chamaedaphne calyculata, Kalmia polifolia, Ledum groenlandicum) constituent des sources importantes de nourriture. |
Hiver | Peuplements de conifères matures. |
Déplacements |
Déplacements principalement dans les forêts de conifères, en évitant les habitats ouverts (p. ex., lacs, zones perturbées, etc.) lors de la migration de l’habitat d’été à l’habitat d’hiver. |
Évitement |
Évite les fens à couvert arbustif élevé pendant la mise bas. |
Type de sélection | Description |
---|---|
Grande échelle |
Forêts de conifères (pin gris, épinette noire, mélèze laricin) au dernier stade de succession (plus de 50 ans), tourbières arborées, fondrières de mousse ou bogs, utilisation d’îles sèches dans les fondrières de mousse avec abondance de lichens. Terrains montagneux ou zones en altitude, petits lacs. |
Mise bas |
Bogs et forêts matures, ainsi qu’îles et petits lacs choisis pour la mise bas. |
Élevage |
Peuplements forestiers de plus de 50 ans. |
Saison du rut |
Forêts matures. |
Hiver |
Tourbières, bogs et fens arborés et complexes de fens ouverts avec plus de 50 % de couverture de tourbière comportant une abondance de lichens. |
Évitement |
Évite les habitats secs et les fens, les peuplements dominés par le peuplier faux-tremble, les peuplements non matures et les grands cours d’eau pendant toute l’année. |
D) Information supplémentaire :
Couverture terrestre de 2005 telle que mesurée par le spectroradiomètre imageur à résolution moyenne (MODIS) (250 m pixels)
Générée par le Centre canadien de télédétection BNDT 1/250 000: Basée sur la couche hydrologique
Type de perturbation et superficie :
Zones brûlées = 22%
Perturbation anthropique tamponnée3 (aucun réservoir) = 8%
Perturbations totales de l'habitat = 28%4
3 « Tamponnée » signifie qu’une zone tampon de 500 m a été appliquée aux perturbations linéaires et polygonales.
4 Les perturbations totales de l’habitat comprennent les perturbations anthropiques et les zones brûlées dues à l’activité humaine qui ne sont pas comptabilisées deux fois dans le total.
La désignation de l'habitat essentiel du caribou boréal repose sur trois facteurs pour chaque population locale : i) l'emplacement de l'habitat; ii) la superficie de l'habitat; iii) le type d'habitat.
A) Emplacement:Zone où se situe l'habitat essential.
Figure 1 - Carte de données géoréférencées de l'emplacement général de la population locale (en rouge).
Figure 2 - Frontière géographique à l’intérieur de laquelle est situé l'habitat essentiel (en gris).
B) Superficie : Quantité d'habitat essentiel.
Caractéristiques des aires de répartition |
Superficie de l’aire de répartition |
2 114 075 ha |
---|---|---|
Taille de la population |
300-500 |
|
Tendances de la population |
Inconnues |
|
Perturbations totales de l’habitat |
739 926 ha |
|
Évaluation des aires |
Évaluation de la probabilité selon laquelle l’aire de répartition actuelle soutiendrait une population locale autosuffisante |
Autosuffisante |
Détermination de la superficie d’habitat |
|
2 114 075 ha (100%) |
|
739 926 ha (35%) |
|
|
1 374 149 ha (65%) |
1 Les perturbations totales de l'habitat reflètent la perte d'habitat fonctionnel. Elles seront supérieures à l'empreinte des perturbations associée (p. ex. une empreinte de 100 ha pourrait conduire à une perte d'habitat fonctionnel de 400 ha).
2 L'habitat non perturbé disponible représente plus de 65 % de l'aire de répartition.
C) Type: Caractéristiquesbiophysiques.
Type de sélection | Description |
---|---|
Grande échelle |
Milieux secs de conifères matures et basses terres dominées par les conifères ou le mélèze laricin. |
Mise bas |
Milieux humides boisés ou bogs arborés, anciens brûlis, conifères clairsemés et épinettes denses. Présence nécessaire de lichens. |
Élevage |
Tourbières avec îles boisées, îles et rivages sélectionnés pendant l’été. |
Saison du rut |
Bogs semi-ouverts et ouverts et milieux secs de conifères matures sélectionnés pendant la saison du rut. Les lichens terrestres et arboricoles, les cypéracées et les arbustes éricoïdes de bogs (Andromeda glaucophylla, Chamaedaphne calyculata, Kalmia polifolia, Ledum groenlandicum) constituent des sources importantes de nourriture. |
Hiver |
Peuplements de conifères matures. |
Déplacements |
Déplacements principalement dans les forêts de conifères, en évitant les habitats ouverts (p. ex., lacs, zones perturbées, etc.) lors de la migration de l’habitat d’été à l’habitat d’hiver. |
Évitement |
Évite les fens à couvert arbustif élevé pendant la mise bas. |
D) Information supplémentaire :
Couverture terrestre de 2005 telle que mesurée par le spectroradiomètre imageur à résolution moyenne (MODIS) (250 m pixels)
Générée par le Centre canadien de télédétection BNDT 1/250 000: Basée sur la couche hydrologique
Type de perturbation et superficie :
Zones brûlées = 32%
Perturbation anthropique tamponnée3 (aucun réservoir) = 5%
Perturbations totales de l'habitat = 35%4
3 « Tamponnée » signifie qu’une zone tampon de 500 m a été appliquée aux perturbations linéaires et polygonales.
4 Les perturbations totales de l’habitat comprennent les perturbations anthropiques et les zones brûlées dues à l’activité humaine qui ne sont pas comptabilisées deux fois dans le total.
La désignation de l'habitat essentiel du caribou boréal repose sur trois facteurs pour chaque population locale : i) l'emplacement de l'habitat; ii) la superficie de l'habitat; iii) le type d'habitat.
A) Emplacement : Zone où se situe l'habitat essential.
Figure 1 - Carte de données géoréférencées de l'emplacement général de la population locale (en rouge).
Figure 2 - Frontière géographique à l’intérieur de laquelle est situé l'habitat essentiel (en gris).
C) Superficie : Quantité d'habitat essentiel.
Caractéristiques des aires de répartition |
Superficie de l’aire de répartition |
2 150 490 ha |
---|---|---|
Taille de la population |
Inconnue |
|
Tendances de la population |
Inconnues |
|
Perturbations totales de l’habitat |
666 652 ha |
|
Évaluation des aires |
Évaluation de la probabilité selon laquelle l’aire de répartition actuelle soutiendrait une population locale autosuffisante |
Autosuffisante |
Détermination de la superficie d’habitat |
A) Superficie de l’aire de répartition |
2 150 490 ha (100%) |
B) Perturbations totales de l’habitat1 |
666 652 ha (31%) |
|
C) Habitat essentiel2 |
1 397 819 ha (65%) |
1 Les perturbations totales de l'habitat reflètent la perte d'habitat fonctionnel. Elles seront supérieures à l'empreinte des perturbations associée (p. ex. une empreinte de 100 ha pourrait conduire à une perte d'habitat fonctionnel de 400 ha).
2 L'habitat non perturbé disponible représente plus de 65 % de l'aire de répartition.
C) Type: Caractéristiquesbiophysiques.
Type de sélection | Description |
---|---|
Grande échelle |
Milieux secs de conifères matures et basses terres dominées par les conifères ou le mélèze laricin. |
Mise bas |
Milieux humides boisés ou bogs arborés, anciens brûlis, conifères clairsemés et épinettes denses. Présence nécessaire de lichens. |
Élevage |
Tourbières avec îles boisées, îles et rivages sélectionnés pendant l’été. |
Saison du rut |
Bogs semi-ouverts et ouverts et milieux secs de conifères matures sélectionnés pendant la saison du rut. Les lichens terrestres et arboricoles, les cypéracées et les arbustes éricoïdes de bogs (Andromeda glaucophylla, Chamaedaphne calyculata, Kalmia polifolia, Ledum groenlandicum) constituent des sources importantes de nourriture. |
Hiver |
Peuplements de conifères matures. |
Déplacements |
Déplacements principalement dans les forêts de conifères, en évitant les habitats ouverts (p. ex., lacs, zones perturbées, etc.) lors de la migration de l’habitat d’été à l’habitat d’hiver. |
Évitement |
Évite les fens à couvert arbustif élevé pendant la mise bas. |
D) Information supplémentaire :
Couverture terrestre de 2005 telle que mesurée par le spectroradiomètre imageur à résolution moyenne (MODIS) (250 m pixels)
Générée par le Centre canadien de télédétection BNDT 1/250 000: Basée sur la couche hydrologique
Type de perturbation et superficie :
Zones brûlées = 6%
Perturbation anthropique tamponnée3 (aucun réservoir) = 28%
Perturbations totales dans l'habitat = 31%4
3 « Tamponnée » signifie qu’une zone tampon de 500 m a été appliquée aux perturbations linéaires et polygonales.
4 Les perturbations totales de l’habitat comprennent les perturbations anthropiques et les zones brûlées dues à l’activité humaine qui ne sont pas comptabilisées deux fois dans le total.
La désignation de l'habitat essentiel du caribou boréal repose sur trois facteurs pour chaque population locale : i) l'emplacement de l'habitat; ii) la superficie de l'habitat; iii) le type d'habitat.
A) Emplacement : Zone où se situe l'habitat essential.
Figure 1 - Carte de données géoréférencées de l'emplacement général de la population locale (en rouge).
Figure 2 - Frontière géographique à l’intérieur de laquelle est situé l'habitat essentiel (en gris).
B) Superficie : Quantité d'habitat essentiel.
Caractéristiques des aires de répartition |
Superficie de l’aire de répartition |
3 885 026 ha |
---|---|---|
Taille de la population |
300 |
|
Tendances de la population |
Population stable |
|
Perturbations totales de l’habitat |
1 204 358 ha |
|
Évaluation des aires |
Évaluation de la probabilité selon laquelle l’aire de répartition actuelle soutiendrait une population locale autosuffisante |
Autosuffisante |
Détermination de la superficie d’habitat |
A) Superficie de l’aire de répartition |
3 885 026 ha (100%) |
B) Perturbations totales de l’habitat1 |
1 204 358 ha (31%) |
|
C) Habitat essentiel2 |
2 525 267 ha (65%) |
1 Les perturbations totales de l'habitat reflètent la perte d'habitat fonctionnel. Elles seront supérieures à l'empreinte des perturbations associée (p. ex. une empreinte de 100 ha pourrait conduire à une perte d'habitat fonctionnel de 400 ha).
2 L'habitat non perturbé disponible représente plus de 65 % de l'aire de répartition.
C) Type : Caractéristiquesbiophysiques.
Type de sélection | Description |
---|---|
Grande échelle |
Complexes de tourbières, fondrières de mousse ou bogs à dominance de conifères ou de mélèze laricin. Utilisation d’îles sèches au milieu des fondrières de mousse et de forêts matures de conifères (pin gris, épinette noire, mélèze laricin) de densité moyenne à élevée en milieu sec comportant une abondance de lichens. |
Mise bas |
Les tourbières, les peuplements dominés par l’épinette noire, les peuplements forestiers matures et les fondrières de mousse arborées sont tous utilisés pour la mise bas. |
Élevage |
Les rivages boisés, les îles, les rochers faiblement arborés, les milieux secs de conifères et d’épinettes et les fondrières de mousse arborées sont utilisés en été. |
Saison du rut |
Forêts de conifères et forêts mixtes denses et clairsemées. |
Hiver |
Peuplements matures d’épinettes en milieu sec, peuplements de pins et fondrières de mousse arborées. |
Déplacements |
Certains mâles se déplacent sur une distance de plus de 100 km au cours de la saison du rut. |
Évitement |
Évite les habitats au fort couvert arbustif et les peuplements à dominance de feuillus. |
Type de sélection | Description |
---|---|
Grande échelle |
Milieux secs de conifères matures et basses terres dominées par les conifères ou le mélèze laricin. |
Mise bas |
Milieux humides boisés ou bogs arborés, anciens brûlis, conifères clairsemés et épinettes denses. Présence nécessaire de lichens. |
Élevage |
Tourbières avec îles boisées, îles et rivages sélectionnés pendant l’été. |
Saison du rut |
Bogs semi-ouverts et ouverts et milieux secs de conifères matures sélectionnés pendant la saison du rut. Les lichens terrestres et arboricoles, les cypéracées et les arbustes éricoïdes de bogs (Andromeda glaucophylla, Chamaedaphne calyculata, Kalmia polifolia, Ledum groenlandicum) constituent des sources importantes de nourriture. |
Hiver | Peuplements de conifères matures. |
Déplacements |
Déplacements principalement dans les forêts de conifères, en évitant les habitats ouverts (p. ex., lacs, zones perturbées, etc.) lors de la migration de l’habitat d’été à l’habitat d’hiver. |
Évitement |
Évite les fens à couvert arbustif élevé pendant la mise bas. |
D) Information supplémentaire :
Couverture terrestre de 2005 telle que mesurée par le spectroradiomètre imageur à résolution moyenne (MODIS) (250 m pixels)
Générée par le Centre canadien de télédétection BNDT 1/250 000: Basée sur la couche hydrologique
Type de perturbation et superficie :
Zones brûlées = 7%
Perturbation anthropique tamponnée3 (aucun réservoir) = 25%
Perturbations totales de l'habitat = 31%4
3 « Tamponnée » signifie qu’une zone tampon de 500 m a été appliquée aux perturbations linéaires et polygonales.
4 Les perturbations totales de l’habitat comprennent les perturbations anthropiques et les zones brûlées dues à l’activité humaine qui ne sont pas comptabilisées deux fois dans le total
La désignation de l'habitat essentiel du caribou boréal repose sur trois facteurs pour chaque population locale : i) l'emplacement de l'habitat; ii) la superficie de l'habitat; iii) le type d'habitat.
A) Emplacement :Zone où se situe l'habitat essential.
Figure 1 - Carte de données géoréférencées de l'emplacement général de la population locale (en rouge).
Figure 2 - Frontière géographique à l’intérieur de laquelle est situé l'habitat essentiel (en gris).
B) Superficie : Quantité d'habitat essentiel.
Caractéristiques des aires de répartition |
Superficie de l’aire de répartition |
376 598 ha |
---|---|---|
Taille de la population |
492 |
|
Tendances de la population |
Population stable |
|
Perturbations totales de l’habitat |
60 256 ha |
|
Évaluation des aires |
Évaluation de la probabilité selon laquelle l’aire de répartition actuelle soutiendrait une population locale autosuffisante |
Autosuffisante |
Détermination de la superficie d’habitat |
A) Superficie de l’aire de répartition |
376 598 ha (100%) |
B) Perturbations totales de l’habitat1 |
60 256 (16%) |
|
C) Habitat essentiel2 |
244 789 ha (65%) |
|
1 Les perturbations totales de l'habitat reflètent la perte d'habitat fonctionnel. Elles seront supérieures à l'empreinte des perturbations associée (p. ex. une empreinte de 100 ha pourrait conduire à une perte d'habitat fonctionnel de 400 ha). |
C) Type: Caractéristiquesbiophysiques.
Type de sélection | Description |
---|---|
Grande échelle |
Basses terres dominées par l’épinette noire au dernier stade de succession écologique et milieux secs à dominance de pin gris. |
Mise bas |
Les couverts forestiers ouverts d’épinettes noires matures et les tourbières mésiques à éricacées sont sélectionnés pour la mise bas dans la région de la ceinture d’argile. |
Hiver |
Grandes superficies de forêts contiguës à dominance d’épinette noire. |
Évitement |
Évite les débris ligneux récemment tombés, les arbustes denses et le mélèze pendant la saison de mise bas. |
D) Information supplémentaire :
Couverture terrestre de 2005 telle que mesurée par le spectroradiomètre imageur à résolution moyenne (MODIS) (250 m pixels)
Générée par le Centre canadien de télédétection BNDT 1/250 000: Basée sur la couche hydrologique
Type de perturbation et superficie :
Zones brûlées = 0%
Perturbation anthropique tamponnée3 (aucun réservoir) = 16%
Perturbations totales de l'habitat = 16%4
3 « Tamponnée » signifie qu’une zone tampon de 500 m a été appliquée aux perturbations linéaires et polygonales.
4 Les perturbations totales de l’habitat comprennent les perturbations anthropiques et les zones brûlées dues à l’activité humaine qui ne sont pas comptabilisées deux fois dans le total
La désignation de l'habitat essentiel du caribou boréal repose sur trois facteurs pour chaque population locale : i) l'emplacement de l'habitat; ii) la superficie de l'habitat; iii) le type d'habitat.
A) Emplacement : Zone où se situe l'habitat essential.
Figure 1 - Carte de données géoréférencées de l'emplacement général de la population locale (en rouge).
Figure 2 - Frontière géographique à l’intérieur de laquelle est situé l'habitat essentiel (en gris).
B) Superficie : Quantité d'habitat essentiel.
Caractéristiques des aires de répartition |
Superficie de l’aire de répartition |
4 542 918 ha |
---|---|---|
Taille de la population |
Inconnue |
|
Tendances de la population |
Inconnues |
|
Perturbations totales de l’habitat |
1 226 588 ha |
|
Évaluation des aires |
Évaluation de la probabilité selon laquelle l’aire de répartition actuelle soutiendrait une population locale autosuffisante |
Autosuffisante |
Détermination de la superficie d’habitat |
A) Superficie de l’aire de répartition |
4 542 918 ha (100%) |
B) Perturbations totales de l’habitat1 |
1 226 588 ha (27%) |
|
C) Habitat essentiel2 |
2 952 897 ha (65%) |
1 Les perturbations totales de l'habitat reflètent la perte d'habitat fonctionnel. Elles seront supérieures à l'empreinte des perturbations associée (p. ex. une empreinte de 100 ha pourrait conduire à une perte d'habitat fonctionnel de 400 ha).
2 L'habitat non perturbé disponible représente plus de 65 % de l'aire de répartition.
C) Type: Caractéristiquesbiophysiques.
Type de sélection | Description |
---|---|
Grande échelle |
Basses terres dominées par l’épinette noire au dernier stade de succession écologique et milieux secs à dominance de pin gris. |
Mise bas |
Les couverts forestiers ouverts d’épinettes noires matures et les tourbières mésiques à éricacées sont sélectionnés pour la mise bas dans la région de la ceinture d’argile. |
Hiver |
Grandes superficies de forêts contiguës à dominance d’épinette noire. |
Évitement |
Évite les débris ligneux récemment tombés, les arbustes denses et le mélèze pendant la saison de mise bas. |
Type de sélection | Description |
---|---|
Grande échelle |
Habitats sélectionnés en général pour réduire le risque de prédation. |
Mise bas |
Peuplements matures de conifères avec et sans lichens et fondrières de mousse. Préférence pour les altitudes plus élevées comparativement à l'habitat utilisé au cours d'autres périodes. |
Élevage |
Fens, bogs et lacs. |
Saison du rut |
Milieux humides et peuplements de conifères avec lichens. Des peuplements matures de conifères et en régénération sont également utilisés, dans une moindre mesure. Le caribou utilise les collines dans les basses terres et les îles boisées dans les fondrières de mousse comptant plusieurs espèces d’arbres différentes. |
Hiver |
Forêts de conifères denses et matures avec lichens et milieux humides. |
Déplacements | Déplacements majeurs en automne et en hiver lorsque le caribou passe de l’habitat de mise bas à l’habitat d’hivernage. |
Évitement |
Évite les zones herbacées et les zones brûlées au cours des 40 dernières années. |
D) Information supplémentaire :
Couverture terrestre de 2005 telle que mesurée par le spectroradiomètre imageur à résolution moyenne (MODIS) (250 m pixels)
Générée par le Centre canadien de télédétection BNDT 1/250 000: Basée sur la couche hydrologique
Type de perturbation et superficie :
Zones brûlées = 1%
Perturbation anthropique tamponnée3 (aucun réservoir) = 26%
Perturbations totales de l'habitat = 27%4
3 « Tamponnée » signifie qu’une zone tampon de 500 m a été appliquée aux perturbations linéaires et polygonales.
4 Les perturbations totales de l’habitat comprennent les perturbations anthropiques et les zones brûlées dues à l’activité humaine qui ne sont pas comptabilisées deux fois dans le total.
La désignation de l'habitat essentiel du caribou boréal repose sur trois facteurs pour chaque population locale : i) l'emplacement de l'habitat; ii) la superficie de l'habitat; iii) le type d'habitat.
A) Emplacement : Zone où se situe l'habitat essential.
Figure 1 - Carte de données géoréférencées de l'emplacement général de la population locale (en rouge).
Figure 2 - Frontière géographique à l’intérieur de laquelle est situé l'habitat essentiel (en gris).
B) Superficie : Quantité d'habitat essentiel.
Caractéristiques des aires de répartition |
Superficie de l’aire de répartition |
28 265 143 ha |
---|---|---|
Taille de la population |
Inconnue |
|
Tendances de la population |
Inconnues |
|
Perturbations totales de l’habitat |
4 239 771 ha |
|
Évaluation des aires |
Évaluation de la probabilité selon laquelle l’aire de répartition actuelle soutiendrait une population locale autosuffisante |
Autosuffisante |
Détermination de la superficie d’habitat |
A) Superficie de l’aire de répartition |
28 265 143 ha (100%) |
B) Perturbations totales de l’habitat1 |
4 239 771 ha (15%) |
|
C) Habitat essentiel2 |
18 372 343 ha (65%) |
1 Les perturbations totales de l'habitat reflètent la perte d'habitat fonctionnel. Elles seront supérieures à l'empreinte des perturbations associée (p. ex. une empreinte de 100 ha pourrait conduire à une perte d'habitat fonctionnel de 400 ha).
2 L'habitat non perturbé disponible représente plus de 65 % de l'aire de répartition.
C) Type : Caractéristiques biophysiques.
Type de sélection | Description |
---|---|
Grande échelle |
Complexes de tourbières, fondrières de mousse ou bogs à dominance de conifères ou de mélèze laricin. Utilisation d’îles sèches au milieu des fondrières de mousse et de forêts matures de conifères (pin gris, épinette noire, mélèze laricin) de densité moyenne à élevée en milieu sec comportant une abondance de lichens. |
Mise bas |
Les tourbières, les peuplements dominés par l’épinette noire, les peuplements forestiers matures et les fondrières de mousse arborées sont tous utilisés pour la mise bas. |
Élevage |
Les rivages boisés, les îles, les rochers faiblement arborés, les milieux secs de conifères et d’épinettes et les fondrières de mousse arborées sont utilisés en été. |
Saison du rut |
Forêts de conifères et forêts mixtes denses et clairsemées. |
Hiver |
Peuplements matures d’épinettes en milieu sec, peuplements de pins et fondrières de mousse arborées. |
Déplacements |
Certains mâles se déplacent sur une distance de plus de 100 km au cours de la saison du rut. |
Évitement |
Évite les habitats au fort couvert arbustif et les peuplements à dominance de feuillus. |
Type de sélection | Description |
---|---|
Grande échelle |
Basses terres dominées par l’épinette noire au dernier stade de succession écologique et milieux secs à dominance de pin gris. Peuplements de sapins baumiers, marais et zones comportant une abondance de lichens. |
Mise bas |
Forêts de conifères ouvertes ou moyennement fermées. |
Saison du rut |
Forêts matures denses et ouvertes d’épinettes, de mélèzes laricins, de pins gris et jeunes forêts de conifères de 30 à 50 ans. |
Hiver |
Peuplements ouverts de sapins baumiers, de sapins baumiers et épinettes noires, d’épinettes noires, d’épinettes noires et mélèzes laricins et peuplements de plus de 70 ans de pins gris. Terres nues et sèches, peuplements de 30 à 50 ans de sapins baumiers ou de sapins et épinettes noires, ainsi que peuplements de 50 ans de pins gris et lichens arboricoles et terrestres. |
Évitement |
Évite les routes et les brûlis de moins de 50 ans. |
Type de sélection | Description |
---|---|
Grande échelle |
Basses terres dominées par l’épinette noire au dernier stade de succession écologique et milieux secs à dominance de pin gris. |
Mise bas |
Les couverts forestiers ouverts d’épinettes noires matures et les tourbières mésiques à éricacées sont sélectionnés pour la mise bas dans la région de la ceinture d’argile. |
Hiver |
Grandes superficies de forêts contiguës à dominance d’épinette noire. |
Évitement |
Évite les débris ligneux récemment tombés, les arbustes denses et le mélèze pendant la saison de mise bas. |
Type de sélection | Description |
---|---|
Grande échelle |
Habitats sélectionnés en général pour réduire le risque de prédation. |
Mise bas |
Peuplements matures de conifères avec et sans lichens et fondrières de mousse. Préférence pour les altitudes plus élevées comparativement à l'habitat utilisé au cours d'autres périodes. |
Élevage |
Fens, bogs et lacs. |
Saison du rut |
Milieux humides et peuplements de conifères avec lichens. Des peuplements matures de conifères et en régénération sont également utilisés, dans une moindre mesure. Le caribou utilise les collines dans les basses terres et les îles boisées dans les fondrières de mousse comptant plusieurs espèces d’arbres différentes. |
Hiver |
Forêts de conifères denses et matures avec lichens et milieux humides. |
Déplacements |
Déplacements majeurs en automne et en hiver lorsque le caribou passe de l’habitat de mise bas à l’habitat d’hivernage. |
Évitement |
Évite les zones herbacées et les zones brûlées au cours des 40 dernières années. |
D) Information supplémentaire :
Couverture terrestre de 2005 telle que mesurée par le spectroradiomètre imageur à résolution moyenne (MODIS) (250 m pixels)
Générée par le Centre canadien de télédétection BNDT 1/250 000: Basée sur la couche hydrologique
Type de perturbation et superficie :
Zones brûlées = 14%
Perturbation anthropique tamponnée3 (aucun réservoir) = 1%
Perturbations totales de l'habitat = 15%4
3 « Tamponnée » signifie qu’une zone tampon de 500 m a été appliquée aux perturbations linéaires et polygonales.
4 Les perturbations totales de l’habitat comprennent les perturbations anthropiques et les zones brûlées dues à l’activité humaine qui ne sont pas comptabilisées deux fois dans le total.
La désignation de l'habitat essentiel du caribou boréal repose sur trois facteurs pour chaque population locale : i) l'emplacement de l'habitat; ii) la superficie de l'habitat; iii) le type d'habitat.
A) Emplacement : Zone où se situe l'habitat essential.
Figure 1 - Carte de données géoréférencées de l'emplacement général de la population locale (en rouge).
Figure 2 - Frontière géographique à l’intérieur de laquelle est situé l'habitat essentiel (en gris).
B) Superficie : Quantité d'habitat essentiel.
Caractéristiques des aires de répartition |
Superficie de l’aire de répartition |
1 134 129 ha |
---|---|---|
Taille de la population |
181 |
|
Tendances de la population |
Population en augmentation |
|
Perturbations totales de l’habitat |
374 263 ha |
|
Évaluation des aires |
Évaluation de la probabilité selon laquelle l’aire de répartition actuelle soutiendrait une population locale autosuffisante |
Autosuffisante |
Détermination de la superficie d’habitat |
A) Superficie de l’aire de répartition |
1 134 129 ha (100%) |
B) Perturbations totales de l’habitat1 |
374 263 ha (33%) |
|
C) Habitat essentiel2 |
737 184 ha (65%) |
1 Les perturbations totales de l'habitat reflètent la perte d'habitat fonctionnel. Elles seront supérieures à l'empreinte des perturbations associée (p. ex. une empreinte de 100 ha pourrait conduire à une perte d'habitat fonctionnel de 400 ha).
2 L'habitat non perturbé disponible représente plus de 65 % de l'aire de répartition.
C) Type : Caractéristiquesbiophysiques.
Type de sélection | Description |
---|---|
Grande échelle |
Forêts de conifères et d’hypnum sur les sites mal drainés et milieux secs de conifères matures comportant une abondance de lichens terrestres. Peuplements d’épinettes noires, de pins gris et de sapins baumiers comportant une abondance de lichens. |
Mise bas |
Milieux humides ouverts, péninsules et îles. |
Élevage |
Milieux humides ouverts et boisés (marais, marécages) et utilisation continue des péninsules et des îles. Zones vallonnées, sites côtiers et rivages (cours d’eau et lacs). |
Saison du rut |
Milieux humides ouverts sélectionnés, marécages. |
Hiver |
Milieux humides boisés. Certaine utilisation de la toundra des hautes terres pour le repos. Terrain montagneux. |
Déplacements |
Le caribou se déplace sur de plus grandes distances pendant la saison du rut. |
Évitement |
Évite les forêts d’arbres à feuilles caduques et les forêts mixtes, les forêts de pins gris de moins de 40 ans et les landes sans lichen toute l’année. |
D) Information supplémentaire :
Couverture terrestre de 2005 telle que mesurée par le spectroradiomètre imageur à résolution moyenne (MODIS) (250 m pixels)
Générée par le Centre canadien de télédétection BNDT 1/250 000: Basée sur la couche hydrologique
Type de perturbation et superficie :
Zones brûlées = 3%
Perturbation anthropique tamponnée3 (aucun réservoir) = 32%
Perturbations totales de l'habitat = 33%4
3 « Tamponnée » signifie qu’une zone tampon de 500 m a été appliquée aux perturbations linéaires et polygonales.
4 Les perturbations totales de l’habitat comprennent les perturbations anthropiques et les zones brûlées dues à l’activité humaine qui ne sont pas comptabilisées deux fois dans le total
La désignation de l'habitat essentiel du caribou boréal repose sur trois facteurs pour chaque population locale : i) l'emplacement de l'habitat; ii) la superficie de l'habitat; iii) le type d'habitat.
A) Emplacement : Zone où se situe l'habitat essential.
Figure 1 - Carte de données géoréférencées de l'emplacement général de la population locale (en rouge).
Figure 2 - Frontière géographique à l’intérieur de laquelle est situé l'habitat essentiel (en gris).
B) Superficie : Quantité d'habitat essentiel.
Caractéristiques des aires de répartition |
Superficie de l’aire de répartition |
62 156 186 ha |
---|---|---|
Taille de la population |
9000 |
|
Tendances de la population |
Population stable |
|
Perturbations totales de l’habitat |
18 646 856 ha |
|
Évaluation des aires |
Évaluation de la probabilité selon laquelle l’aire de répartition actuelle soutiendrait une population locale autosuffisante |
Autosuffisante |
Détermination de la superficie d’habitat |
A) Superficie de l’aire de répartition |
62 156 186 ha (100%) |
B) Perturbations totales de l’habitat1 |
18 646 856 ha (30%) |
|
C) Habitat essentiel2 |
40 401 521 ha (65%) |
1 Les perturbations totales de l'habitat reflètent la perte d'habitat fonctionnel. Elles seront supérieures à l'empreinte des perturbations associée (p. ex. une empreinte de 100 ha pourrait conduire à une perte d'habitat fonctionnel de 400 ha).
2 L'habitat non perturbé disponible représente plus de 65 % de l'aire de répartition.
C) Type : Caractéristiquesbiophysiques.
Type de sélection | Description |
---|---|
Grande échelle |
Forêts de conifères et d’hypnum sur les sites mal drainés et milieux secs de conifères matures comportant une abondance de lichens terrestres. Peuplements d’épinettes noires, de pins gris et de sapins baumiers comportant une abondance de lichens. |
Mise bas |
Milieux humides ouverts, péninsules et îles. |
Élevage |
Milieux humides ouverts et boisés (marais, marécages) et utilisation continue des péninsules et des îles. Zones vallonnées, sites côtiers et rivages (cours d’eau et lacs). |
Saison du rut |
Milieux humides ouverts sélectionnés, marécages. |
Hiver |
Milieux humides boisés. Certaine utilisation de la toundra des hautes terres pour le repos. Terrain montagneux. |
Déplacements |
Le caribou se déplace sur de plus grandes distances pendant la saison du rut. |
Évitement |
Évite les forêts d’arbres à feuilles caduques et les forêts mixtes, les forêts de pins gris de moins de 40 ans et les landes sans lichen toute l’année. |
Type de sélection | Description |
---|---|
Grande échelle |
Basses terres dominées par l’épinette noire au dernier stade de succession écologique et milieux secs à dominance de pin gris. |
Mise bas |
Les couverts forestiers ouverts d’épinettes noires matures et les tourbières mésiques à éricacées sont sélectionnés pour la mise bas dans la région de la ceinture d’argile. |
Hiver |
Grandes superficies de forêts contiguës à dominance d’épinette noire. |
Évitement |
Évite les débris ligneux récemment tombés, les arbustes denses et le mélèze pendant la saison de mise bas. |
D) Information supplémentaire :
Couverture terrestre de 2005 telle que mesurée par le spectroradiomètre imageur à résolution moyenne (MODIS) (250 m pixels)
Générée par le Centre canadien de télédétection BNDT 1/250 000: Basée sur la couche hydrologique
Type de perturbation et superficie :
Zones brûlées = 20%
Perturbation anthropique tamponnée3 (aucun réservoir) = 12%
Perturbations totales de l'habitat = 30%4
3 « Tamponnée » signifie qu’une zone tampon de 500 m a été appliquée aux perturbations linéaires et polygonales.
4 Les perturbations totales de l’habitat comprennent les perturbations anthropiques et les zones brûlées dues à l’activité humaine qui ne sont pas comptabilisées deux fois dans le total.
La désignation de l'habitat essentiel du caribou boréal repose sur trois facteurs pour chaque population locale : i) l'emplacement de l'habitat; ii) la superficie de l'habitat; iii) le type d'habitat.
A) Emplacement : Zone où se situe l'habitat essential.
Figure 1 - Carte de données géoréférencées de l'emplacement général de la population locale (en rouge).
Figure 2 - Frontière géographique à l’intérieur de laquelle est situé l'habitat essentiel (en gris).
B) Superficie : Quantité d'habitat essentiel.
Caractéristiques des aires de répartition |
Superficie de l’aire de répartition |
5 802 491 ha |
---|---|---|
Taille de la population |
1101 |
|
Tendances de la population |
Inconnues |
|
Perturbations totales de l’habitat |
464 199 ha |
|
Évaluation des aires |
Évaluation de la probabilité selon laquelle l’aire de répartition actuelle soutiendrait une population locale autosuffisante |
Autosuffisante |
Détermination de la superficie d’habitat |
A) Superficie de l’aire de répartition |
5 802 491 ha (100%) |
B) Perturbations totales de l’habitat1 |
464 199 ha (8%) |
|
C) Habitat essentiel2 |
3 771 619 ha (65%) |
1 Les perturbations totales de l'habitat reflètent la perte d'habitat fonctionnel. Elles seront supérieures à l'empreinte des perturbations associée (p. ex. une empreinte de 100 ha pourrait conduire à une perte d'habitat fonctionnel de 400 ha).
2 L'habitat non perturbé disponible représente plus de 65 % de l'aire de répartition.
C) Type : Caractéristiquesbiophysiques.
Type de sélection | Description |
---|---|
Grande échelle |
Forêts de conifères et d’hypnum sur les sites mal drainés et milieux secs de conifères matures comportant une abondance de lichens terrestres. Peuplements d’épinettes noires, de pins gris et de sapins baumiers comportant une abondance de lichens. |
Mise bas |
Milieux humides ouverts, péninsules et îles. |
Élevage |
Milieux humides ouverts et boisés (marais, marécages) et utilisation continue des péninsules et des îles. Zones vallonnées, sites côtiers et rivages (cours d’eau et lacs). |
Saison du rut |
Milieux humides ouverts sélectionnés, marécages. |
Hiver |
Milieux humides boisés. Certaine utilisation de la toundra des hautes terres pour le repos. Terrain montagneux. |
Déplacements |
Le caribou se déplace sur de plus grandes distances pendant la saison du rut. |
Évitement |
Évite les forêts d’arbres à feuilles caduques et les forêts mixtes, les forêts de pins gris de moins de 40 ans et les landes sans lichen toute l’année. |
Type de sélection | Description |
---|---|
Grande échelle |
Toundra en milieu sec dominée par les éricacées (diverses espèces d’arbustes de la famille des Éricacées), les lichens, les graminées et les cypéracées. |
Mise bas |
Bogs structurés, tourbières arborées, milieux humides ouverts de petite taille (moins de 1 km²), fondrières de mousse de grande taille et marais en bordure des plans d'eau. Terres nues.La mise bas sur les péninsules et les îles augmente avec la quantité des zones d’eau libre. |
Élevage | Milieux humides boisés. Zones vallonnées, sites côtiers, le long des rivages (cours d'eau, lacs), marais avec présence de lichens. |
Saison du rut |
Milieux humides ouverts, marécages. Forêts matures, terrain montagneux avec forêts d’épinettes noires, de mélèzes laricins et de pins comportant une abondance de lichens. |
Hiver |
Les zones forestières sont utilisées les années de faible accumulation de neige; sinon, le choix de l’habitat d’hivernage marque l’évitement général de la neige épaisse, y compris l’utilisation de l’habitat de toundra à des altitudes plus élevées dans les régions montagneuses et des tourbières le long des lacs ou des océans. |
Déplacements |
La connectivité entre les types d’habitats sélectionnés est importante étant donné les types de déplacement observés chez le caribou. |
Évitement |
Évite les routes et les zones récemment brûlées. |
D) Information supplémentaire :
Couverture terrestre de 2005 telle que mesurée par le spectroradiomètre imageur à résolution moyenne (MODIS) (250 m pixels)
Générée par le Centre canadien de télédétection BNDT 1/250 000: Basée sur la couche hydrologique
Type de perturbation et superficie :
Zones brûlées = 7%
Perturbation anthropique tamponnée3 (aucun réservoir) = 1%
Perturbations totales de l'habitat = 8%4
3 « Tamponnée » signifie qu’une zone tampon de 500 m a été appliquée aux perturbations linéaires et polygonales.
4 Les perturbations totales de l’habitat comprennent les perturbations anthropiques et les zones brûlées dues à l’activité humaine qui ne sont pas comptabilisées deux fois dans le total.
La désignation de l'habitat essentiel du caribou boréal repose sur trois facteurs pour chaque population locale : i) l'emplacement de l'habitat; ii) la superficie de l'habitat; iii) le type d'habitat.
A) Emplacement : Zone où se situe l'habitat essential.
Figure 1 - Carte de données géoréférencées de l'emplacement général de la population locale (en rouge).
Figure 2 - Frontière géographique à l’intérieur de laquelle est situé l'habitat essentiel (en gris).
B) Superficie : Quantité d'habitat essentiel.
Caractéristiques des aires de répartition |
Superficie de l’aire de répartition |
3 948 463 ha |
---|---|---|
Taille de la population |
2106 |
|
Tendances de la population |
Population stable |
|
Perturbations totales de l’habitat |
78 969 ha |
|
Évaluation des aires |
Évaluation de la probabilité selon laquelle l’aire de répartition actuelle soutiendrait une population locale autosuffisante |
Autosuffisante |
Détermination de la superficie d’habitat |
A) Superficie de l’aire de répartition |
3 948 463 ha (100%) |
B) Perturbations totales de l’habitat1 |
78 969 ha (2%) |
|
C) Habitat essentiel2 |
2 566 501 ha (65%) |
1 Les perturbations totales de l'habitat reflètent la perte d'habitat fonctionnel. Elles seront supérieures à l'empreinte des perturbations associée (p. ex. une empreinte de 100 ha pourrait conduire à une perte d'habitat fonctionnel de 400 ha).
2 L'habitat non perturbé disponible représente plus de 65 % de l'aire de répartition.
C) Type : Caractéristiquesbiophysiques.
Type de sélection | Description |
---|---|
Grande échelle |
Forêts de conifères et d’hypnum sur les sites mal drainés et milieux secs de conifères matures comportant une abondance de lichens terrestres. Peuplements d’épinettes noires, de pins gris et de sapins baumiers comportant une abondance de lichens. |
Mise bas |
Milieux humides ouverts, péninsules et îles. |
Élevage |
Milieux humides ouverts et boisés (marais, marécages) et utilisation continue des péninsules et des îles. Zones vallonnées, sites côtiers et rivages (cours d’eau et lacs). |
Saison du rut |
Milieux humides ouverts sélectionnés, marécages. |
Hiver |
Milieux humides boisés. Certaine utilisation de la toundra des hautes terres pour le repos. Terrain montagneux. |
Déplacements |
Le caribou se déplace sur de plus grandes distances pendant la saison du rut. |
Évitement |
Évite les forêts d’arbres à feuilles caduques et les forêts mixtes, les forêts de pins gris de moins de 40 ans et les landes sans lichen toute l’année. |
Type de sélection | Description |
---|---|
Grande échelle |
Toundra en milieu sec dominée par les éricacées (diverses espèces d’arbustes de la famille des Éricacées), les lichens, les graminées et les cypéracées. |
Mise bas |
Bogs structurés, tourbières arborées, milieux humides ouverts de petite taille (moins de 1 km²), fondrières de mousse de grande taille et marais en bordure des plans d'eau. Terres nues.La mise bas sur les péninsules et les îles augmente avec la quantité des zones d’eau libre. |
Élevage | Milieux humides boisés. Zones vallonnées, sites côtiers, le long des rivages (cours d'eau, lacs), marais avec présence de lichens. |
Saison du rut |
Milieux humides ouverts, marécages. Forêts matures, terrain montagneux avec forêts d’épinettes noires, de mélèzes laricins et de pins comportant une abondance de lichens. |
Hiver |
Les zones forestières sont utilisées les années de faible accumulation de neige; sinon, le choix de l’habitat d’hivernage marque l’évitement général de la neige épaisse, y compris l’utilisation de l’habitat de toundra à des altitudes plus élevées dans les régions montagneuses et des tourbières le long des lacs ou des océans. |
Déplacements |
La connectivité entre les types d’habitats sélectionnés est importante étant donné les types de déplacement observés chez le caribou. |
Évitement |
Évite les routes et les zones récemment brûlées. |
D) Information supplémentaire :
Couverture terrestre de 2005 telle que mesurée par le spectroradiomètre imageur à résolution moyenne (MODIS) (250 m pixels)
Générée par le Centre canadien de télédétection BNDT 1/250 000: Basée sur la couche hydrologique
Type de perturbation et superficie :
Zones brûlées = 0.4%
Perturbation anthropique tamponnée3 (aucun réservoir) = 1%
Perturbations totales de l'habitat = 2%4
3 « Tamponnée » signifie qu’une zone tampon de 500 m a été appliquée aux perturbations linéaires et polygonales.
4 Les perturbations totales de l’habitat comprennent les perturbations anthropiques et les zones brûlées dues à l’activité humaine qui ne sont pas comptabilisées deux fois dans le total
La désignation de l'habitat essentiel du caribou boréal repose sur trois facteurs pour chaque population locale : i) l'emplacement de l'habitat; ii) la superficie de l'habitat; iii) le type d'habitat.
A) Emplacement : Zone où se situe l'habitat essential.
Figure 1 - Carte de données géoréférencées de l'emplacement général de la population locale (en rouge).
Figure 2 - Frontière géographique à l’intérieur de laquelle est situé l'habitat essentiel (en gris).
B) Superficie : Quantité d'habitat essentiel.
Caractéristiques des aires de répartition |
Superficie de l’aire de répartition |
5 177 187 ha |
---|---|---|
Taille de la population |
Inconnue |
|
Tendances de la population |
Inconnues |
|
Perturbations totales de l’habitat |
465 947 ha |
|
Évaluation des aires |
Évaluation de la probabilité selon laquelle l’aire de répartition actuelle soutiendrait une population locale autosuffisante |
Autosuffisante |
Détermination de la superficie d’habitat |
A) Superficie de l’aire de répartition |
5 177 187 ha (100%) |
B) Perturbations totales de l’habitat1 |
465 947 ha (9%) |
|
C) Habitat essentiel2 |
3 365 172 ha (65%) |
1 Les perturbations totales de l'habitat reflètent la perte d'habitat fonctionnel. Elles seront supérieures à l'empreinte des perturbations associée (p. ex. une empreinte de 100 ha pourrait conduire à une perte d'habitat fonctionnel de 400 ha).
2 L'habitat non perturbé disponible représente plus de 65 % de l'aire de répartition.
C) Type : Caractéristiquesbiophysiques.
Type de sélection | Description |
---|---|
Grande échelle |
Forêts de conifères et d’hypnum sur les sites mal drainés et milieux secs de conifères matures comportant une abondance de lichens terrestres. Peuplements d’épinettes noires, de pins gris et de sapins baumiers comportant une abondance de lichens. |
Mise bas |
Milieux humides ouverts, péninsules et îles. |
Élevage |
Milieux humides ouverts et boisés (marais, marécages) et utilisation continue des péninsules et des îles. Zones vallonnées, sites côtiers et rivages (cours d’eau et lacs). |
Saison du rut |
Milieux humides ouverts sélectionnés, marécages. |
Hiver |
Milieux humides boisés. Certaine utilisation de la toundra des hautes terres pour le repos. Terrain montagneux. |
Déplacements |
Le caribou se déplace sur de plus grandes distances pendant la saison du rut. |
Évitement |
Évite les forêts d’arbres à feuilles caduques et les forêts mixtes, les forêts de pins gris de moins de 40 ans et les landes sans lichen toute l’année. |
Type de sélection | Description |
---|---|
Grande échelle |
Toundra en milieu sec dominée par les éricacées (diverses espèces d’arbustes de la famille des Éricacées), les lichens, les graminées et les cypéracées. |
Mise bas |
Bogs structurés, tourbières arborées, milieux humides ouverts de petite taille (moins de 1 km²), fondrières de mousse de grande taille et marais en bordure des plans d'eau. Terres nues.La mise bas sur les péninsules et les îles augmente avec la quantité des zones d’eau libre. |
Élevage |
Milieux humides boisés. Zones vallonnées, sites côtiers, le long des rivages (cours d'eau, lacs), marais avec présence de lichens. |
Saison du rut | Milieux humides ouverts, marécages. Forêts matures, terrain montagneux avec forêts d’épinettes noires, de mélèzes laricins et de pins comportant une abondance de lichens. |
Hiver |
Les zones forestières sont utilisées les années de faible accumulation de neige; sinon, le choix de l’habitat d’hivernage marque l’évitement général de la neige épaisse, y compris l’utilisation de l’habitat de toundra à des altitudes plus élevées dans les régions montagneuses et des tourbières le long des lacs ou des océans. |
Déplacements |
La connectivité entre les types d’habitats sélectionnés est importante étant donné les types de déplacement observés chez le caribou. |
Évitement |
Évite les routes et les zones récemment brûlées. |
D) Information supplémentaire :
Couverture terrestre de 2005 telle que mesurée par le spectroradiomètre imageur à résolution moyenne (MODIS) (250 m pixels)
Générée par le Centre canadien de télédétection BNDT 1/250 000: Basée sur la couche hydrologique
Type de perturbation et superficie :
Zones brûlées = 7%
Perturbation anthropique tamponnée3 (aucun réservoir) = 2%
Perturbations totales de l'habitat = 9%4
3 « Tamponnée » signifie qu’une zone tampon de 500 m a été appliquée aux perturbations linéaires et polygonales.
4 Les perturbations totales de l’habitat comprennent les perturbations anthropiques et les zones brûlées dues à l’activité humaine qui ne sont pas comptabilisées deux fois dans le total.
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