Salamandre à petite bouche (Ambystoma texanum) : sommaire du statut de l'espèce du COSEPAC 2014

En voie de disparition
2014

Information sur le document

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Les sommaires du statut de l’espèce du COSEPAC sont des documents de travail servant à déterminer le statut des espèces sauvages au Canada que l’on croit en péril. On peut citer le présent document de la façon suivante :

COSEPAC. 2013. Sommaire du statut de l’espèce du COSEPAC sur salamandre à petite bouche (Ambystoma texanum) au Canada. Comité sur la situation des espèces en péril au Canada. Ottawa. ##i p. (Registre public des espèces en péril site Web).

Note de production :

Le COSEPAC remercie David M. Green d'avoir rédigé le sommaire du statut de l'espèce sur la salamandre à petite bouche (Ambystoma texanum) au Canada, aux termes d'un marché conclu avec Environnement Canada. La supervision et la révision du sommaire ont été assurées par Kristiina Ovaska et Jim Bogart, coprésidents du Sous comité de spécialistes des amphibiens et des reptiles.

Pour obtenir des exemplaires supplémentaires, s’adresser au :

Secrétariat du COSEPAC
a/s Service canadien de la faune
Environnement Canada
Ottawa (Ontario)
K1A 0H3

Tél. : 819-953-3215
Téléc. : 819-994-3684
COSEPAC Courriel
COSEPAC site Web

Also available in English under the title COSEWIC Status Appraisal Summary on the Species Name Copablepharon fuscum in Canada.

©Sa Majesté la Reine du chef du Canada, 2014.
No de catalogue CW69-14/2-40-2014F-PDF
ISBN 978-0-660-22048-2

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Sommaire de l’évaluation

Sommaire de l’évaluation - mai 2014

Nom commun
Salamandre à petite bouche
Nom scientifique
Ambystoma texanum
Statut
En voie de disparition
Justification de la désignation
La distribution canadienne de cette salamandre se limite uniquement à l'île Pelée. L'entière aire de répartition canadienne n'est que d'environ 40 km 2, et seulement trois sites de reproduction sont connus. Bien que l'espèce ait été évaluée « en voie de disparition » il y a 10 ans, il y a peu de nouveaux renseignements et de nouvelles menaces pèsent sur l'espèce. L'existence continue de la population est précaire à cause de la dégradation de l'habitat dans les sites de reproduction en milieux humides. La prédation et la destruction de l'habitat par des dindons sauvages récemment introduits constituent de nouvelles menaces pesant sur l'existence des salamandres sur l'île Pelée.
Répartition
Ontario
Historique du statut
Espèce désignée « préoccupante » en avril 1991. Réexamen du statut : l'espèce a été désignée « en voie de disparition » en mai 2004 et en mai 2014.

 

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Sommaire du statut de l’espèce

Salamandre à petite bouche
Small-mouthed Salamander
Ambystoma texanum
Répartition au Canada : Ontario

Historique du statut du COSEPAC

Espèce désignée « préoccupante » en avril 1991. Réexamen du statut : l'espèce a été désignée « en voie de disparition » en mai 2004 et en mai 2014.

Preuves (préciser le cas échéant)

Espèce sauvage

Changement quant à l’admissibilité, à la taxinomie ou aux unités désignable
Non
Justification
Aucune nouvelle donnée depuis la dernière évaluation.

Aire de répartition

Changement de la zone d’occurrence
Inconnu
Changement de l'indice de zone d'occupation
Inconnu
Changement du nombre de localités* actuelles connues ou inférées
Inconnu
Nouvelles données importantes issues de relevés
Non

Justification :

Aucune nouvelle donnée depuis la dernière évaluation. L'aire de répartition de l'espèce au Canada n'a pas changé depuis la dernière évaluation.

* Utiliser la définition de « localité » de l'UICN.

Information sur la population

Changement du nombre d'individus matures
Inconnu
Changement de la tendance de la population totale
Inconnu
Changement de la gravité de la fragmentation de la population
Inconnu
Changement de la tendance de la superficie et/ou de la qualité de l’habitat
Inconnu
Nouvelles données importantes issues de relevés
Non

Justification :

Aucune nouvelle donnée depuis la dernière évaluation. La superficie de l'habitat pourrait augmenter grâce aux travaux de rétablissement réalisés par Conservation de la nature Canada (CNC).

Menaces

Changement de la nature ou de la gravité des menaces
Oui

Justification :

En 2002, environ 25 Dindons sauvages (Meleagris gallopavo) nicheurs ont été remis en liberté à divers endroits sur l’île Pelée en collaboration avec le ministère des Richesses naturelles, le Programme de remise en liberté des dindons sauvages (Wild Turkey Release Program), le canton de Pelee et le Club des sportifs de l’île Pelée (Pelee Island Sportsman’s Club; Municipality of Pelee Island, 2013). Depuis la remise en liberté initiale, une grande population de Dindons sauvages existe maintenant sur l’île et, depuis 2004, la chasse aux dindons y est autorisée (OMNR, 2007). Selon Jim Bogart (comm. pers., 2013) et Mike Oldham (comm. pers., 2013), la prédation et la destruction du microhabitat par les Dindons sauvages pourraient avoir des conséquences dévastatrices sur les salamandres. Ailleurs, soit dans le bois Backus et le district de Parry Sound, Bogart a observé la destruction de l’habitat par des dindons; ceux-ci laissent peu d’abris intacts pour les salamandres.

Des nouvelles espèces de trématodes parasites ont été identifiées chez les populations états-uniennes de salamandres à petite bouche (McAllister et al., 2008, 2010), mais on ne connait pas les menaces qu’elles font planer sur la viabilité de la population.

Protection

Changement dans la protection actuelle
Oui

Justification :

La salamandre à petite bouche est inscrite comme espèce en voie de disparition à l’annexe 1 de la Loi sur les espèces en péril (LEP). Conformément aux règlements pris en vertu de la Loi de 2007 sur les espèces en voie de disparition de l’Ontario, il est interdit de tuer une salamandre à petite bouche, de la blesser ou de la posséder. Son habitat est protégé dans deux réserves naturelles provinciales, dont l’une abrite une partie de la plus grande population de salamandres à petite bouche de l’île Pelée. Sur cette île, d’autres zones d’habitat se trouvant sur des terres protégées publiques ou privées sont protégées. Au cours des 10 dernières années, CNC a procédé à l’achat de plusieurs terrains pouvant renfermer des zones d’habitat de la salamandre à petite bouche.

Immigration de source externe

Changement de l’immigration externe constatée
Non

Justification :

Aucune nouvelle donnée depuis la dernière évaluation.

Analyse quantitative

Changement dans la probabilité de disparition du pays
Inconnu

Précisions :

Aucune nouvelle donnée depuis la dernière évaluation.

Sommaire et autres points à examiner

Les lignes directrices en matière de gestion de l’habitat généralement applicables à l’île Pelée ont été élaborées par CNC (2008). En Ontario, une ébauche de programme de rétablissement a été préparée pour la salamandre à petite bouche (Hamill, 2014).

Aucun effort de rétablissement n’a été mis en œuvre.

L’introduction de Dindons sauvages sur l’île Pelée menace les salamandres à petite bouche, car elle entraînera probablement un déclin du nombre d’individus matures par la prédation et la destruction de l’habitat. Cela pourrait causer une hausse de la fragmentation des populations et un déclin accru de l’étendue et de la qualité de l’habitat.

Remerciements et experts contactés

James Bogart, professeur émérite, University of Guelph.
Michael Oldham, ministère des Richesses naturelles de l’Ontario, Peterborough.
Scott Gillingwater, Upper Thames River Conservation Authority.
Joe Crowley, ministère des Richesses naturelles de l’Ontario, Peterborough.

Sources d’information

Bogart, J. Correspondance par courriel avec D. Green,4 mars 2013, professeur émérite, University of Guelph, Ontario.

Hamill, Stewart E. 2014. DRAFT Recovery Strategy for the Small-mouthed Salamander (Ambystoma texanum) in Ontario, Ontario Recovery Strategy Series, préparé pour le ministère des Richesses naturelles de l’Ontario, Peterborough (Ontario), vii + 18 p.

McAllister, C.T., C.R. Bursey et S.E. Trauth. 2008. New host and geographic distribution records for some endoparasites (Myxosporea, Trematoda, Cestoidea, Nematoda) of amphibians and reptiles from Arkansas and Texas, USA, Comparative Parasitology 75:241-254.

McAllister, C.T., C.R.  Bursey, J.A. Crawford, A.R. Kuhns, C. Shaffer et S.E. Trauth. 2010. Metacercariae of Clinostomum (Trematoda: Digenea) from three species of Ambystoma (Caudata: Ambystomatidae) from Arkansas and Illinois, USA, Comparative Parasitology 77:25-30.

Municipality of Pelee Island [en anglais seulement]. (consulté le 5 mars 2013).

Conservation de la nature Canada (CDC). 2008. Management Guidelines: Pelee Island Alvars, CNC – région du sud-ouest de l’Ontario, London (Ontario), 43 p.

Oldham. M. Correspondance par courriel avec D. Green, 5 mars 2013, ministère des Richesses naturelles de l’Ontario, Peterborough (Ontario).

OMNR. 2007. Wild Turkey management plan for Ontario, ministère des Richesses naturelles de l’Ontario, 44 p.

Résumé technique

Ambystoma texanum

Salamandre à petite bouche

Small-mouthed Salamander

Répartition au Canada :
Ontario

Données démographiques

Durée d’une génération
3 ans

Pourcentage estimé de déclin continu du nombre total d'individus matures.

Oui, à cause de nouvelles menaces

Pourcentage estimé de déclin continu du nombre total d’individus matures sur [cinq ans OU deux générations].
Inconnu

Pourcentage de réduction ou d'augmentation du nombre total d'individus matures au cours des dix dernières années ou trois dernières générations.

Inconnu

Pourcentage de réduction ou d'augmentation du nombre total d'individus matures au cours des dix prochaines années ou trois prochaines générations.

Inconnu

Pourcentage de réduction ou d'augmentation du nombre total d'individus matures au cours de toute période commençant dans le passé et se terminant dans le futur.

Inconnu, mais on prévoit un déclin des individus matures à cause de nouvelles menaces

Est-ce que les causes du déclin sont clairement réversibles et comprises et ont effectivement cessé?

Non

Y a t il des fluctuations extrêmes du nombre d'individus matures?

  • [La taille des populations d'autres espèces d'Ambystoma fluctue (Green, 2003).]

Très probable à cause de la courte durée d'une génération et de nouvelles menaces

Information sur la répartition

Superficie estimée de la zone d’occurrence
[Superficie de l'île Pelée : 4 262 ha]
43 km2

Indice de zone d’occupation (IZO)
(Toujours une valeur établie à partir d'une grille à carrés de 2 km de côté.)
12 km2

La population est-elle gravement fragmentée, c’est-à-dire que > 50 % de sa zone d’occupation totale se situe dans des parcelles d’habitat qui sont a) plus petites que la superficie nécessaire au maintien d’une population viable et b) éloignées les unes des autres par une grande distance?
Non

Nombre de localitésNote de bas de page *
[Trois sites de reproduction connus à l'heure actuelle, qui pourraient tous être décimés lors d'une inondation catastrophique ou d'une tempête grave.]
1

Y a-t-il un déclin continu inféré de la zone d'occurrence?
Non

Y a-t-il un déclin continu prévu de l'indice de zone d'occupation?
Oui

Y a-t-il un déclin continu prévu du nombre de populations?
Oui

Y a-t-il un déclin continu prévu du nombre de localitésNote de bas de page *?
[Une seule localité selon la définition de l'IUCN.]
Non

Y a-t-il un déclin continu prévu de la qualité de l'habitat?
[À cause de l'introduction de Dindons sauvages.]
Oui

Y a-t-il des fluctuations extrêmes du nombre de sous-populations?
Non

Y a-t-il des fluctuations extrêmes du nombre de localitésNote de bas de page *?
Non

Y a-t-il des fluctuations extrêmes de la zone d'occurrence?
Non

Y a-t-il des fluctuations extrêmes de l'indice de zone d'occupation?
Non

Nombre d'individus matures dans chaque sous population
Sous population Nombre d'individus matures
Total Inconnu mais sans doute très petit (< 2 500 adultes)

Analyse quantitative

La probabilité de disparition de l'espèce à l'état sauvage est d'au moins [20 % sur 20 ans ou 5 générations, ou 10 % sur 100 ans].
Sans objet

Menaces (réelles ou imminentes pour les populations ou leur habitat)

  • Dégradation de l’environnement (principalement dans le passé)
  • Modification du réseau hydrographique (dans le passé)
  • Destruction de l’habitat à cause de l’introduction de Dindons sauvages (en cours)

Immigration de source externe (immigration de l’extérieur du Canada)

Statut des populations de l'extérieur les plus susceptibles de fournir des individus immigrants au Canada
États Unis : N5
Michigan (S1, en voie de disparition),
Ohio (aucun statut particulier)

Une immigration a-t-elle été constatée ou est-elle possible?
Non

Des individus immigrants seraient-ils adaptés pour survivre au Canada?
Oui

Y a-t-il suffisamment d'habitat disponible au Canada pour les individus immigrants?
Oui

La possibilité d'une immigration depuis des populations externes existe t elle?
Non

Nature délicate de l’information sur l’espèce

L'information concernant l'espèce est elle de nature délicate?
Oui

Historique du statut

Espèce désignée « préoccupante » en avril 1991. Réexamen du statut : l'espèce a été désignée « en voie de disparition » en mai 2004 et en mai 2014.

Sources d’information additionnelles : Green, D.M. 2003. The ecology of extinction: population fluctuation and decline in amphibians, Biological Conservation 111:331-343.

Statut et justification de la désignation

Statut
En voie de disparition
Code alphanumérique
B1ab(iii,v)+2ab(iii,v)
Justification de la désignation
La distribution canadienne de cette salamandre se limite uniquement à l’île Pelée. L’entière aire de répartition canadienne n’est que d’environ 40 km 2, et seulement trois sites de reproduction sont connus. Bien que l’espèce ait été évaluée « en voie de disparition » il y a 10 ans, il y a peu de nouveaux renseignements et de nouvelles menaces pèsent sur l’espèce. L’existence continue de la population est précaire à cause de la dégradation de l’habitat dans les sites de reproduction en milieux humides. La prédation et la destruction de l’habitat par des dindons sauvages récemment introduits constituent de nouvelles menaces pesant sur l’existence des salamandres sur l’île Pelée.

Applicabilité des critères

Critère A (déclin du nombre total d'individus matures) :
Sans objet. Un déclin est probable, mais il n'y a pas suffisamment de données pour en calculer le pourcentage.
Critère B (petite aire de répartition et déclin ou fluctuation) :
Correspond aux critères de la catégorie « espèce en voie de disparition », B1ab(iii,v)+2ab(iii,v), car la zone d’occurrence et l’indice de zone d’occupation sont inférieures aux valeurs seuils, la population est répartie dans moins de 5 localités (a) et il y a un déclin continu inféré ou prévu (b) de la superficie, de l’étendue et/ou de la qualité de l’habitat (iii) et du nombre d’individus adultes (v) selon les tendances de l’habitat, y compris l’introduction de Dindons sauvages. L’information est insuffisante pour déterminer le nombre d’individus matures dans chaque sous-population.
Critère C (nombre d'individus matures peu élevé et en déclin) :
Pourrait correspondre au critère de la catégorie « espèce en voie de disparition », C2b, car on estime que moins de 1 000 adultes habitent sur l’île Pelée, qu’il y a eu un déclin de l’effectif pouvant être inféré d’après les pertes de sites de reproduction, et qu’il y a probablement des fluctuations extrêmes de la taille des populations. Cependant, ces données ne peuvent être déterminées avec autant de certitude que celles du critère B. Le critère C2a(ii) pourrait également s’appliquer puisqu’une sous-population renferme > 95 % de tous les individus matures.
Critère D (très petite population totale ou répartition restreinte) :
Correspond au critère de la catégorie « espèce menacée », D2, car l’indice de zone d’occupation est de moins de 20 km² et que le nombre de localités est de moins de 5.
Critère E (analyse quantitative) :
Information insuffisante pour effectuer le calcul.

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Historique du COSEPAC

Le Comité sur la situation des espèces en péril au Canada (COSEPAC) a été créé en 1977, à la suite d’une recommandation faite en 1976 lors de la Conférence fédérale-provinciale sur la faune. Le Comité a été créé pour satisfaire au besoin d’une classification nationale des espèces sauvages en péril qui soit unique et officielle et qui repose sur un fondement scientifique solide. En 1978, le COSEPAC (alors appelé Comité sur le statut des espèces menacées de disparition au Canada) désignait ses premières espèces et produisait sa première liste des espèces en péril au Canada. En vertu de la Loi sur les espèces en péril (LEP) promulguée le 5 juin 2003, le COSEPAC est un comité consultatif qui doit faire en sorte que les espèces continuent d’être évaluées selon un processus scientifique rigoureux et indépendant.

Mandat du COSEPAC

Le Comité sur la situation des espèces en péril au Canada (COSEPAC) évalue la situation, au niveau national, des espèces, des sous-espèces, des variétés ou d’autres unités désignables qui sont considérées comme étant en péril au Canada. Les désignations peuvent être attribuées aux espèces indigènes comprises dans les groupes taxinomiques suivants : mammifères, oiseaux, reptiles, amphibiens, poissons, arthropodes, mollusques, plantes vasculaires, mousses et lichens.

Composition du COSEPAC

Le COSEPAC est composé de membres de chacun des organismes responsable des espèces sauvages des gouvernements provinciaux et territoriaux, de quatre organismes fédéraux (le Service canadien de la faune, l’Agence Parcs Canada, le ministère des Pêches et des Océans et le Partenariat fédéral d’information sur la biodiversité, lequel est présidé par le Musée canadien de la nature), de trois membres scientifiques non gouvernementaux et des coprésidents des sous-comités de spécialistes des espèces et du sous-comité des connaissances traditionnelles autochtones. Le Comité se réunit au moins une fois par année pour étudier les rapports de situation des espèces candidates.

Définitions (2013)

Espèce sauvage
Espèce, sous-espèce, variété ou population géographiquement ou génétiquement distincte d’animal, de plante ou d’un autre organisme d’origine sauvage (sauf une bactérie ou un virus) qui est soit indigène du Canada ou qui s’est propagée au Canada sans intervention humaine et y est présente depuis au moins cinquante ans.
Disparue (D)
Espèce sauvage qui n’existe plus.
Disparue du pays (DP)
Espèce sauvage qui n’existe plus à l’état sauvage au Canada, mais qui est présente ailleurs.
En voie de disparition (VD)Note de bas de page*
Espèce sauvage exposée à une disparition de la planète ou à une disparition du pays imminente.
Menacée (M)
Espèce sauvage susceptible de devenir en voie de disparition si les facteurs limitants ne sont pas renversés.
Préoccupante (P)Note de bas de page**
Espèce sauvage qui peut devenir une espèce menacée ou en voie de disparition en raison de l'effet cumulatif de ses caractéristiques biologiques et des menaces reconnues qui pèsent sur elle.
Non en péril (NEP)Note de bas de page***
Espèce sauvage qui a été évaluée et jugée comme ne risquant pas de disparaître étant donné les circonstances actuelles.
Données insuffisantes (DI)Note de bas de page****
Une catégorie qui s’applique lorsque l’information disponible est insuffisante (a) pour déterminer l’admissibilité d’une espèce à l’évaluation ou (b) pour permettre une évaluation du risque de disparition de l’espèce.

Le Service canadien de la faune d’Environnement Canada assure un appui administratif et financier complet au Secrétariat du COSEPAC.

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